Si dès le début du XIXe siècle les féeries, les pantomimes ou encore les tableaux vivants laissent transparaître un véritable goût pour l’érotisme, la Belle Époque est très certainement l’apogée de cette expression érotique, qui devient massive dans les cafés-concerts…

Livia Suquet
IRET – Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3