Frontispice de Que c’est comme un bouquet de fleurs, Paris, Dentu, 1866
[Folies-Dramatiques, 23 décembre 1865]. Collection BnF, Arsenal, GD 48254

Revue d’Histoire du Théâtre • N°266 T2 2015

L’érotisation massive des revues de cafés-concert à la Belle Époque

Par Livia Suquet

Résumé

Si dès le début du XIXe siècle les féeries, les pantomimes ou encore les tableaux vivants laissent transparaître un véritable goût pour l’érotisme, la Belle Époque est très certainement l’apogée de cette expression érotique, qui devient massive dans les cafés-concerts dès le Second Empire. En 1867, l’État concède en effet aux artistes de café-concert la possibilité de se costumer, d’installer des décors et de jouer la comédie en plus de chanter, et permet aux directeurs de cafés ou de brasseries de s’agrandir et de monter des spectacles de plus en plus coûteux[1].

Vous n’avez actuellement pas accès au contenu de cet article. Veuillez vous connecter à votre compte, vous abonner à la revue, ou acheter cet article ou ce numéro pour le visualiser dans son intégralité.

Société d'Histoire du Théâtre

Abonnement

L’abonnement annuel constitue le soutien essentiel aux activités éditoriales de la Société d’Histoire du Théâtre et à leur pérennité. Il inclut les envois papier, l’accès aux versions numériques et à nos archives.

S’ABONNER EN LIGNE À LA VERSION PAPIER+NUMÉRIQUES’ABONNER EN LIGNE À LA VERSION NUMÉRIQUE

BULLETIN D’ABONNEMENT SHT 2024