Frontispice de Que c’est comme un bouquet de fleurs, Paris, Dentu, 1866
[Folies-Dramatiques, 23 décembre 1865]. Collection BnF, Arsenal, GD 48254

Revue d’Histoire du Théâtre • N°266 T2 2015

Métamorphoses de la revue de fin d’année au café-concert : l’exemple de l’année 1886

Par Marine Wisniewski

Résumé

Installés à Paris depuis les années 1840, les cafés-concerts ne cessent de s’affirmer comme le divertissement à la mode de la seconde moitié du XIXe siècle grâce à l’originalité de leur formule qui mêle spectacle et consommation : « Ah ! ceci est un café-concert, un estaminet où l’on fume, où l’on boit, tout en consommant une infinité de romances et en ingurgitant une foule de chansonnettes.[1] » Ces salles, qui ont pour nom Scala, Eldorado, Ba-Ta-Clan ou Alcazar, ne prennent pourtant leur véritable essor qu’après 1867, lorsque, dans le sillage du décret sur la liberté des théâtres, elles peuvent s’essayer à des modes d’expression artistique plus variés excédant le seul tour de chant.

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