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Revue d'Histoire du Théâtre • Numéro 280
Montherlant et Camus face au théâtre du Siècle d’or. Deux sens de l’honneur et de la grandeur
Marie Sorel


Résumé
Les rares rapprochements établis par la critique entre Camus et Montherlant concernent surtout les accents nihilistes de certains de leurs écrits, leur intérêt pour le sport et leur fascination pour l’Orient. Pierre-Louis Rey relève par exemple des affinités étonnantes entre Il y a encore des paradis (1933) de Montherlant et L’Été à Alger (1937) de Camus. L’écart générationnel entre les deux écrivains et leurs choix esthétiques et idéologiques divergents expliquent le peu d’études comparées auxquelles ont donné lieu leurs écrits.
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